lundi 31 juillet 2017

Souvenirs de la Braderie de juillet et des fêtes foraines d'hier



La Braderie et la ducasse 2017 sont terminées pour cette année.
Voici quelques documents trouvés dans notre fond photographique sur le thème de la braderie de juillet, des manèges et des attractions foraines.
Ces clichés vous rappelleront sans doute des souvenirs de votre enfance, de votre jeunesse, de votre passé...
« La ducasse de Pérenchies était un moment important de la vie des Pérenchinois. Les manèges s'installaient sur la place mais aussi à proximité (devant le Carnot, à l'entrée de la rue Agache devant la brasserie ou sur le square de la rue du Général  Leclerc pour la chenille). Il y avait des manèges et des stands de tir à la carabine. On y gagnait des fleurs en papier, des tiges décorées de plumes ou de papier découpé avec des photographies de vedettes et parfois des lots plus importants. J'ai en mémoire la loterie MONIQUE où des tas de peluches s'alignaient attendant les gagnants. Sur la place, une baraque en bois  était montée avec des boxes où se trouvaient des tables et des bancs en bois afin de se restaurer. Par la suite, viendront la chenille et les auto-tamponneuses qui brillaient de mille lumières électriques. On achetait aussi du nougat, blanc ou de couleurs. Je me souviens d'un appareil qui, grâce à des tiroirs et pour une somme modique, nous permettait de gagner divers lots dans des petites boites de la taille des paquets de cigarettes. C'était un jeu de hasard et de surprise. Les forains habitaient encore dans des roulottes en bois.
On achetait aussi des petits jouets en plastique ayant la forme d'une fusée qui contenaient une amorce. En la jetant au sol, l'amorce explosait.
Pour la braderie de la rue Agache, celle-ci se déroulait le lundi matin. Exceptionnellement, l'usine  Agache fermait car c'était la fête de la ville et tout le monde s'y rendait.
Des photographes ambulants prenaient les gens en photo dans la rue. On installait même un décor pour le fond (si vous regardez bien ces anciens clichés, vous verrez que le sol est celui d'une rue).
L'usine Agache ouvrait aussi son magasin et c'était l'occasion pour les gens d'acquérir des parures de draps à des prix de braderie.
Par la suite, la braderie perdra un peu de son caractère par l'arrivée de nombreux commerçants extérieurs. Puis, elle passera au dimanche car les Pérenchinois qui travaillaient n'obtenaient plus leur lundi.
On partait peu en vacances durant le mois de juillet car il y avait la fête nationale et la braderie. 
Par contre, en août, ceux qui le pouvaient partaient. Pérenchies devenait alors une ville morte.       
La fête se déroulait aussi dans les nombreux cafés de la ville. Des orchestres s'y produisaient ; certains composés de Pérenchinois ».

Pour préparer cet article, j'ai jeté un coup d’œil sur les textes de souvenirs remis par des personnes qui souhaitent que l'histoire de notre commune, son passé, son patrimoine, notre mémoire locale    soient conservés. La seule solution est de transmettre nos souvenirs. Ce qui est décrit demeure.
Voici quelques extraits plus ou moins longs mais toujours passionnants de l'histoire de la ducasse  de Pérenchies.

Si vous avez en votre possession des photographies sur ces deux thèmes se déroulant à Pérenchies, n'hésitez pas à nous les transmettre. De même, vos souvenirs seront les bienvenus.

Bon voyage dans notre mémoire.
Philippe JOURDAN
Président de « Si Pérenchies m'était contée... »
31 Juillet 2017

Photos et textes mis en pages par Jean-Pierre Compère.
Légendes et textes relus par Thérèse-Marie Compère.


Souvenirs de Georges Vanhée, né en 1899

« Le 14 juillet était fêté par quartiers. La veille, une retraite aux flambeaux mettait les habitants en gaieté. Le 14 après-midi, il y avait des jeux et des concours gratuits dans les cafés du quartier où la fête était célébrée. Un concert était donné dans l’après-midi dans ce même quartier et le soir, c’était le feu d’artifice. La ducasse de juillet durait trois jours, dimanche, lundi et mardi. Ces jours- là, l’usine Agache était fermée. C’était l’arrêt le plus long de l’année ».

Ducasse d’antan à Pérenchies
                        par Léon LOMMEZ. Janvier 2000.

« Se perdant dans la nuit des temps, ou depuis bien des décennies, la date immuable de la ducasse était le troisième dimanche de juillet. Endimanché, après avoir assisté à la messe, je partais accompagné de mes parents chez ma grand-mère où l’on passait la journée.
A midi, nous n’étions pas très nombreux, à huit autour de la table. Mon oncle était arrivé par le train. Bien que copieux, le repas de la ducasse était simple : un lapin aux pruneaux accompagné de pommes de terre. Pour le dessert, c’était l’immanquable et traditionnelle tarte à prônes.
Durant les pauses du repas, en buvant le café, les femmes parlaient de la famille, des naissances, des maladies, des morts et de toute la parenté comme une sorte de revue annuelle et les hommes, eux, de leur travail, bref toutes ces choses qui n’amusaient pas un bambin de mon âge. Vue mon extrême jeunesse, il n’était pas question d’aller seul à la ducasse aussi, je quémandais auprès de mes parents dans une incessante ritournelle ce leitmotiv « quand allons-nous à la ducasse ? ».
Alors que chacun endossait manteaux et pardessus, je trépignais d’impatience et sitôt sorti, parmi cette foule, je me ruais sur le premier manège, entraîné ensuite par la griserie de la vitesse. Mes parents suivaient des yeux ma ronde joyeuse. Après quelques tours, on allait tous ensemble acheter du nougat. Hélas, la ducasse de juillet 1930 s’achevait déjà ».

En fouillant dans les archives
Documents trouvés dans les archives municipales par les membres de l'association :
LE CARNAVAL. ( A . M. I 117. 3 ).
«  Lettre de J. Demulder, 64 rue de la Prévôté au Maire le 21 janvier 1929.
Monsieur le Maire, J’ai l’honneur de solliciter de votre haute bienveillance de m’accorder l’autorisation d’installer mon manège de vélos, place Carnot, pour les fêtes du Carnaval du 10 au 12 inclus… »
Réponse du Maire
«  Accordée à condition de ne pas jouer pendant la Grand’Messe et les Vêpres ».

DUCASSE DE PERENCHIES DE JUILLET 1930. ( A. M. I 117.3 ).
« Lettre de M. Cottigny au Maire.
J’ai l’honneur de solliciter de votre bienveillance mon emplacement habituel de 14 mètres de diamètre face à l’église pour y monter une attraction nouvelle dénommée le saut de la puce (ci-joint photo) pour la ducasse de Pérenchies du mois de juillet 1930… »

LE PHOTOGRAPHE DES FETES. ( A. M. I 117.3 )
Lors de la fête du village, un photographe s’installait dans la rue pour photographier les habitants.
«  Lille, le 4 juillet 1930. Lettre de monsieur Barti de Lille au Garde de Pérenchies.
Monsieur, Je vous serais très obligé de bien vouloir me dire si vous pourriez me retenir ma place sur la fête locale de Pérenchies. Mon installation est destinée à faire la photo, et je vous serais très reconnaissant de me réserver ma place de l’année dernière, c’est à dire sur le trottoir de la mercerie de M. Pasbecq, tout contre la vitrine de droite… »

VENTE DE PAIN D’EPICES ( A. M. I 117.3 ).
«  Lettre des années 20 de madame veuve Carpentier de Roubaix au Maire.
Monsieur le Maire, J’ai l’honneur de vous solliciter une place à la prochaine fête de votre ville pour y vendre du pain d’épices et de la confiserie dans ma voiture marchande… ».

La fête et la musique
                              Roland Dewulf. Janvier 2000.

« Le Clair-orchestre a été créé vers 1951-52 dans le cadre du Club «  Général Leclerc » avec un groupe de jeunes musiciens issus de l’Harmonie Agache dirigés successivement par Maurice Meurillon, Roland Cayzeele et Roland Dewulf avec au chant les frères Del Piéro, Bruno et Lucien.
Il se produisait lors des kermesses et autres fêtes locales et a enregistré un disque à Radio-Lille.
L’orchestre a été dissous par le départ au service militaire d’une grande partie de ses membres. En 1958, quelques anciens de cet orchestre ont formé un nouveau groupe «  Les Enamorados » pour animer fêtes locales et bals populaires. Mais, ce groupe n’a duré que quelques années ».

La ducasse de Pérenchies
                                                                                  Thérèse Dumez. Mai 2005.

« L’année scolaire se terminait fin juin. Dès la sortie des classes, les remises de prix, les fêtes des écoles terminées, nous pensions à la prochaine fête communale : la ducasse.
A Pérenchies elle a toujours lieu le dimanche qui suit le 14 juillet. Au plus vite, elle a donc lieu le 15 juillet et, au plus tard, le 21 juillet.
Mes parents habitaient une maison située sur la place Lambelin ( qui n’a d’ailleurs jamais eu ce nom officiellement). Les jours qui précédaient ou qui suivaient le 14 juillet, on voyait arriver les forains. Ils stationnaient leurs caravanes dans le jardin situé derrière la rue de la Poste.
Face à notre maison, le manège « le Transalpin » s’installait sur la petite place. Sur notre trottoir, face à notre maison c’était la loterie « Monique ». Par la suite, elle s’est installée face à la blanchisserie, puis face au restaurant l’Auberge Fleurie. Il y avait un manège face au café du Carnot. La place du Général de Gaulle était remplie de manèges. On y installait aussi ’une « baraque à frites » avec des rideaux à carreaux rouge et blanc aux fenêtres. A l’intérieur des tables en bois et des chaises.
Durant toute la semaine qui précédait cette fête, je voyais le montage des manèges, les ouvriers qui s’affairaient à fixer les boulons et à monter les bâches  qui servaient de toiture ou de protection sur les côtés  des manèges. Parfois, le matin en me réveillant, j’avais la surprise de voir que le manège était déjà monté. Les forains avaient travaillé toute la nuit. Comme tous les enfants j’étais impatiente de voir tourner ces manèges !
Enfin,  le samedi après midi, ils tournaient. Pour « dédommager » mes parents du dérangement durant la semaine, les forains m’offraient des tours gratuits. Je ne sais pas combien j’en ai faits, mais j’étais une petite privilégiée.
Je me souviens que le dimanche midi, à la sortie de messe de 10 H 30 avec mes amis nous allions sur les autos tamponneuses. Le forain connaissait bien mon père et je profitais aussi pour faire des tours gratuits. 
Le midi, c’était le traditionnel repas chez les grands-parents paternels où le menu ne changeait pas au fil des années : bouillon, langue ou bœuf avec une persillade et une pomme de terre à l’eau, fromage et le dessert un jockey.(pas de tarte à prônes ! Ma grand-mère n’était pas une grande cuisinière)  Durant des années, j’ai mangé le même menu.
Chaque année mes grands-parents invitaient l’oncle et la tante d’Houplines ainsi que des cousins de Bruxelles.  En fin d’après-midi, avec mes parents, nous allions faire un tour à la ducasse. Nous allions évidemment à la loterie « Monique » mais aussi au stand de tir qui  était face à la Mairie et dont le propriétaire était un Pérenchinois. Je pense qu’il était parent avec le garde champêtre. Nous achetions sur la place près de la baraque à frites, du nougat. Si mes parents rencontraient des amis, nous allions aussi prendre un verre chez Marie  Marseloo,  plus tard  chez Denise.
Le lundi matin, c’était la braderie. Elle était organisée par les commerçants de la rue Edouard Agache. Il y avait une foule considérable à cette braderie. Il faut dire qu’à l’époque, les Ets Agache  donnait un jour de congé à leur personnel pour les fêtes communales.
J’y allais avec ma mère et les oncles et tantes, mon père restait au magasin.  Je me souviens d’un marchand de vaisselle installé au coin de la  rue Pasteur. Pour attirer le monde à son étal, il n’hésitait pas à casser de la vaisselle.  Plus tard, les Ets Agache ont participé à cette braderie dans la cour de l’usine. Un autre commerçant,  quelques années plus tard, attirait lui aussi beaucoup de monde. C’était « au Régal Breton ». Roger Tonneau  installait  son camion face au café «  Le Pélican »  et avec le bagou qu’il avait, la foule se pressait autour de son camion. Le repas du midi était traditionnel : Moules, frites. Nous le mangions chez nous, mon père n’aimait pas aller manger au restaurant et encore moins dans un café à Pérenchies. Il pensait que tout le monde le regarderait manger. J’en connais qui durant le week-end mangeait trois fois des moules frites. Trois cafés-dîneurs avaient ce repas au menu :   le café Carnot, chez Marcel Penloup (café des footballeurs) puis au retour des sportsmen ( Actuellement l’auberge fleurie ). Le soir, nous retournions à la ducasse en famille, très souvent avec la famille Sansovini. Leur fils, Patrice, étant petit, nous allions au manège place Ronde (place en face du restaurant la Joyère. ) Il faisait un tour, souvent dans un avion  ou une voiture de police ou de pompiers. Nous retrouvions les commerçants qui eux aussi profitaient de cette soirée pour  se détendre.
Très souvent, nous passions la soirée en compagnie des familles Dutriez, Del Piero, Leire ou d’autres…Nous allions manger des frites et un sandwich dans un des cafés pouvant  nous accueillir, car en ce temps là, tous les cafés étaient ouverts et tous étaient remplis. Nous rentrions chez nous vers minuit, 1 heure du matin si ce n’est pas plus. Nous ne pouvions pas dormir tant que les manèges tournaient.
Le mardi soir, c’était réservé aux enfants. La mairie distribuait des billets gratuits. Je n’y allais pas. Il ne fallait  pas exagérer !
Puis, le mercredi matin, la plupart des manèges étaient démontés. Les forains venaient nous saluer et nous quittaient en disant : A l’année prochaine ! ».

 

 Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 2 961
Cette photographie est une publicité envoyée à la ville de Pérenchies afin de proposer un nouveau manège pour la fête foraine. Non datée (vers 1930?).





Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 2 454
La marchande de glaces, rue Agache, devant le café « Au retour des sportsmen » qui deviendra ensuite l'auberge fleurie. Non datée. Entre 1930 et 1950 ?



Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 2 455
La marchande de frites entre 1930 et 1950 ?




Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 4236.
Une marchande de glaces ? Non datée. Entre 1930 et 1950 ? Don de M. Lemai.




Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 3 629
Une marchande de frites plus récente. La friterie de la place (fin 20ème) tenue par la fille
de Roger Tonneau et son mari. 



 Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 2 385
La ducasse des bas et son manège qui était installé au croisement des rues de la Prévôté
et de Quesnoy. Années 50/60




Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 2 386
La ducasse des bas et son manège qui était installé au croisement des rues de la Prévôté
et de Quesnoy. Années 50/60




 Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro2 387
La ducasse des bas et son manège qui était installé au croisement des rues de la Prévôté et
de Quesnoy. Années 50/60




Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 2 388.
La ducasse des bas et son manège qui était installé au croisement des rues de la Prévôté et
de Quesnoy. Années 50/60

 Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 2 840.
La braderie de Pérenchies en 1931. Hélène Delvael, Lucie Dedewaerder et Nelly De Araujo
chez le photographe.





Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 6 163
Marie Delesalle, tante de Sabine Dupont Debruyne chez le photographe
installé dans la rue. Non datée. Années 30/40 ?





 Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 229.
Victor Missian et J. Devos ont créé un orchestre qui se produisait au café « à la clef de sol ».
Celui-ci se situait à la première maison à l'angle des rues Henri Bouchery et de la Paix.
C'était également le siège des trompettes. Non datée. Années 30 à 50 ?




Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 468.
Tente dressée derrière le café « à la clef de sol » rue de la mairie (actuelle rue Henri Bouchery).
1920/24. Ducasse de juillet.




Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 479.
Une autre vue de la tente dressée derrière le café « à la clef de sol » qui accueillait un orgue
durant les festivités de la fête de juillet. 1920/24 ?




Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 2 728.
Ducasse et braderie 1933. R et G Clauw.




Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 2 766.
La famille Vanderstraeten chez le photographe à l'occasion de la braderie. Non datée.





 Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 2 769.
La famille Vanderstraeten chez le photographe à l'occasion de la braderie. Non datée.


Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 3 020.
Chez le photographe dans la rue vers 1936. La famille David.


Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 4 140.
1934. Les familles Lommez et Vanhée chez le photographe pour la fête de juillet. 




Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 3 426.
Francis Portenart chez le photographe. Non datée.




Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 3 938
G. Larnuiseau, Marie Louise et Jean Pétillon chez le photographe. Non datée.



Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 2 727.
Juillet 1934. Mathilde Butaye et Charles chez le photographe lors de la braderie de juillet.



Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 3 581.
La braderie de la rue Agache en 1945. Marcelle Simone et Marcel Lesoen chez le photographe.




Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 3 632
La braderie de la rue Agache en 1955.


 

Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 2 688.
Le « clair orchestre » dirigé par Roland Dewulf vers 1955 se produisait lors des fêtes de la ville.




 Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro  2 723.
Juillet 1955. Chez le photographe.



Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 2 795.
L'orchestre « les Enamoralès » en 1959. Il se produisait sans doute lors des fêtes de la ville.




 Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 3 635.
La braderie de la rue Agache. Années 50. Anne Marie Cazier, future épouse d'Henri Jourdan.


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Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro2 395
La braderie de la rue Agache. Années 50. Anne Marie Cazier, future épouse d'Henri Jourdan.
On remarque derrière un âne et son propriétaire.


 

Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 4 257.
La braderie de la rue Agache. La devanture du magasin Duthoit-Pasbecq.
Non datée. Années 50/60 ?

 


Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 2 821.
La braderie en 1957. Raymonde Julien et Françoise.



Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 3 562.
Années 50/60 ? Marguerite Marie Delobel et sa mère un jour de braderie.



Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 3 397.
1959. La braderie de juillet. Mme Parein-Six et Jean Luc.




 Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 2 864.
La braderie entre 1954 et 1960. Betty Rouxel et sa mère.




Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 2 863.
La braderie entre 1954 et 1960. La petite fille est Betty Rouxel.

 Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 6 852
Un manège installé rue du Grand But. Non datée. Années 50/60 ?




Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 5 615.
La braderie de la rue Agache. Suzanne Sohier et Yolande ?
Non datée. Années 50/60 ?
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 Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 2 589.
La braderie de la rue Agache. Mme Lagache et ses enfants dont Claudine.
Non datée. Entre 1960 et 1980 ?




Photographie « Si Pérenchies m'était contée... numéro 6 155
Sabine Dupont et Marie-Ange Villez à la braderie de1966 ou 1967.


 Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 6 029..
Philippe Jourdan, sa mère Anne Marie Jourdan Cazier, sa sœur Marie Christine,
future épouse Bocquet et sa grand-mère Agnès Cazier Gruson.
Sur la place de Pérenchies pour la ducasse et la braderie. Début des années 60.




Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 3 612.
Mme Troubat lors de la braderie de la rue Agache. Non datée.




Photographie « Si Pérenchies m'était contée... » numéro 2396.
Années 60. Philippe Jourdan et deux de ses sœurs Marie Christine et Dominique.
Dans le jardin du 30 rue de Quesnoy. Retour de la fête foraine . Chacun a gagné un lot.

 

Voici enfin quelques illustrations trouvées sur le moteur de recherche GOOGLE qui rappelleront quelques souvenirs :
 

Document Internet . Plaisir d'offrir.



Document Internet. Plaisir d'offrir.


Document Internet. Les nougats Henri.



Document Internet. Jouets anciens de fête foraine à amorces (années 70).
On plaçait des petites amorces qui, lorsqu'elles rencontraient le sol, explosaient pour notre plus grand plaisir mais pas celui des parents.